Ah, beau printemps, quand reviendras-tu???
J’adore toutes les saisons. Sérieux. Elles apportent toutes leur petit je-ne-sais-quoi qui font qu’on est super content qu’elles arrivent… et aussi super content que la prochaine suit pas trop loin derrière.
Disons que l’hiver, cette année, a été particulièrement froid, et long, et froid [j’ai tu dis que ça été froid cette année!?!].
Pas grave. Une journée ensoleillée et [relativement] chaude et je suis en mode printemps! Oui, même si officiellement le printemps arrive seulement le 20 mars. Ou le 21, je ne le sais jamais.
Et qui dit mode printemps dit MÉNAGE du printemps! J’adore ça, le ménage du printemps!!! On ouvre les fenêtres, ça respire l’air frais, on serre [pas trop loin] les bottes et habits de neige, on ressort les bottes de pluie, on époussette… et on fait le tour de la maison pour jeter. Bon, en fait je ne jete pas trop, je récupère, je donne à des organismes, je recycle, et finalement, si vraiment je ne peux rien faire avec, je jete.
Dans ma quête du minimalisme [sans être à l’extrême], je fais un bon gros ménage à chaque année de ce qu’on a dans la maison. Pis le printemps, ben on dirait que c’est la saison idéale pour faire ça. C’est comme ancrée dans nos gênes.
Des articles sur le « purgeage » du printemps, ça pleut sur la toile. Je ne vous dirai donc pas quoi et pas-quoi garder, loin de là. De toute façon, je trouve que ces listes sont très personnalisées et que ça dépend vraiment du train et type de vie que l’on a.
Je vais plutôt vous donner une tite-liste [on aime ça les tites-listes!] de ce qui se passe dans ma tite-tête quand je fais cet exercice annuel:
- est-ce que je savais que j’avais ce truc? Non, alors j’en ai probablement pas de besoin et je vais pouvoir continuer à vivre sans – donc ça débarasse
- la quantité de poussière est un bon indicateur – si tu peux faire des beaux dessins avec ton doigt dans la poussière qui couvre le dit-truc, ça fait probablement longtemps que tu ne l’as pas utilisé – on peut donc vivre sans et ça débarasse
- quelque chose est brisé et ça fait pas mal [trop] de saisons qu’on dit qu’on va le réparer – petite nouvelle, on ne le réparera jamais – ça débarasse
- si le truc fait partie de la catégorie des « au cas où » et que la situation « au cas où » ne s’est pas présentée dans un passé moyennement rapproché [dans mon cas, c’est un gros max 5 ans!], ben les chances que le « au cas où » se présente sont faibles – ça débarasse
Mon exercice du printemps n’inclut pas mon triage saisonnier que j’adore aussi avec passion. Ce dernier inclut linge (enfants et le mien), jouets, pharmacie, bottes, souliers [petits pieds grandis!].
Petite paranthèse ici…
Un truc fascinant [que je ne connaissais pas] et que j’ai trouvé dernièrement sur la toile pour la catégorie linge. Se poser la question suivante: si je voyais ce morceau de linge au magasin aujourd’hui, est-ce que je l’achèterais? Non, et bien ça sort de notre garde-robe!
Fin de la paranthèse.
Le cabanon [ou le garage pour les chanceux], je le fais bi-annuellement: printemps et automne! Oh, bel hasard, ça coïncide avec sortir [ou remiser] les meubles de jardins, tondeuse, souffleuse, bicyclettes, patins à roulettes, allouette!
Une règle d’or lorsqu’on débarasse: on ne va pas acheter d’autres choses pour remplacer. Enfin, pas tout de suite. Le but ultime de l’exercice est de diminuer la quantité de trucs superflus, inutiles, encombrant, qui se trouve dans notre chez-nous. Avoir de l’espace, du libre dans nos armoires, c’est bon pour la santé! Ça respire!
Des armoires allégées, on y prend goût, et vite en plus! Vous verrez, plus on débarasse, plus on veut débarasser!
Bon triage!